dimanche 29 mars 2015

Les Bâtisseurs: Moyen-âge

Les Bâtisseurs: Moyen-âge de Frédéric Henry 

Jeux de Société
édition Bombyx
Entre amis ou en famille
De 2 à 4 joueurs
Durée: 30 min
Age: 10 ans et +

Matériel: Cartes bâtiment, cartes artisans, carte premier joueur, pièces d'or et pièces d'argent

But du jeu: être le joueur qui possède le plus de points de victoire grâce à la construction de bâtiments et à son argent

Règles rapides: Chaque joueur débute la partie avec une carte apprentie et dix écus. Une fois les cartes installés, on dispose cinq cartes bâtiments et cinq cartes artisans visibles par tous les unes en -dessous des autres, chacun son tour, on peut réaliser trois actions "gratuites" en démarrant un chantier, en engageant un artisan dans son équipe, en faisant travailler un artisan sur un chantier ou en récupérant des écus. Chaque carte prise par un joueur est remplacée par une autre. Si l'un des joueurs souhaite aller au-delà de ses trois actions, il doit payer cinq écus pour avoir le droit à une quatrième action, ainsi de suite. Le jeu se termine lorsque l'un des joueurs a réussi à atteindre 17 points de victoire grâce à ses constructions. 

Pour réussir à construire un bâtiment, il suffit de faire travailler les artisans qui possèdent les bonnes ressources (pierre, bois, savoir, tuile). Il faudra pour les constructions les plus importantes, plusieurs ouvriers pour réussir à terminer sa construction. Chaque bâtiment permet de récupérer un certain nombre de points de victoire mais aussi de l'argent. Un argent très utile puisqu'il permet de payer les artisans sur les chantiers. Il est également possible de construire un outil à la place d'un bâtiment. Il ne rapporte pas d'argent mais des ressources et des points de victoire. 

On détermine le gagnant grâce au cumul des points de victoire et de son argent (tous les 10 écus = 1 point de victoire). 



Mon avis: Un très bon jeu! Accessible à tous par sa simplicité. Mais il faut également une bonne réflexion pour établir et mener à bien sa stratégie. 

Cette après-midi, comme toutes les autres en ce moment, était fort pluvieuse. Alors forcément, j'en ai profité pour tester les Bâtisseurs. J'avais beaucoup entendu parler de ce jeu en bien, et effectivement il l'est!  

J'ai lu et compris les règles en 5 minutes. Autrement dit, juste le temps de lire les huit pages des règles du jeu. Le jeu s'installe également très vite et les joueurs peuvent commencer la partie. Si jamais, vous expliquez la partie à des joueurs novices, au bout de deux tours, le système est bien compris.

Avec sa mécanique simple et bien huilée, c'est au joueur de créer sa stratégie pour récupérer un maximum de points de victoire. Il faut prendre garde à chaque carte et à ce qu'elle peut nous apporter mais aussi à ce qu'elle peut nous faire dépenser. Les cartes bâtiments qui rapportent le plus sont évidemment les cartes qui demandent le plus de ressources. Par conséquent, il faudra payer plus d'artisans. Et les joueurs ne commencent qu'avec 10 écus. Il faut donc se concentrer un minimum pour faire le point sur ses cartes, celles qui pourraient nous rapporter, celles qui peuvent nous être utiles, etc. En gros, il est très facile de monter une stratégie, après la réussir, ça dépend de chacun! 

Ainsi la tactique choisit influencera nos choix. Mais avec des cartes qui renouvellent les précédentes, il faut aussi compter sur une part de hasard... 

En dehors du jeu lui-même, les illustrations sont jolies. Elles nous plongent dans un univers moyenâgeux sympathiques. Et donnent envie aux joueurs de se créer un petit village médiéval avec quelques maisonnettes, ou un cloître, ou encore une auberge. 

La boîte (dans le même genre que la série Timeline) est petite et légère, facile à mettre dans le sac et à emporter un peu partout. Pratique pour faire des soirées chez des amis, partir en vacances, etc. 

Il existe à présent, une nouvelle version de ce jeu: Les Bâtisseurs: Antique. Je serais curieuse de tester! 

Les +:
-un jeu simple qui demande de la réflexion
- les règles sont comprises en cinq minutes
- la boite petite et légère, facile à transporter

Les - : 
- je n'en ai pas trouvé (sauf si vous n'aimez pas le hasard dans les jeux)

Ma note: 4,5/5

mardi 24 mars 2015

Les Outrepasseurs

Les Outrepasseurs, tome1: Les Héritiers de Cindy Van Wilder

Gulf Stream éditeur, 350 pages
Fantasy, Young Adult

Quatrième de couverture
 "-Jure-moi fidélité et je te protégerai. Nous le ferons tous. 
- Nous?
- Les Outrepasseurs. Tous ceux qui portent la Marque. Regarde ces jeunes gens. Voilà ta seule famille, à présent. Vous combattrez ensemble. (Il baissa le ton de sa voix.) Nos adversaires ne s'arrêteront jamais. Les fés nous pourchassent depuis huit siècles. Une éternité pour nous. Un instant pour eux."

Peter, un adolescent sans histoires, échappe de justesse à un attentat et découvre que l'attaque le visait personnellement. Emmené à Lion House, la résidence d'un mystérieux Noble, il fait connaissance avec les membres d'une société secrète, les Outrepasseurs. Les révélations de ces derniers vont changer le cours de sa vie...

Mon avis: Un excellent premier tome, original et particulièrement prenant!

Je suis vraiment contente de ma lecture. j'ai fini le livre, il y a quelques heures et je compte déjà le prêter! C'est une petite pépite à partager. 

Le roman est partagé en différentes parties qui font des va et vient entre notre époque et le moyen-âge (au XIIIe siècle, période où la religion est très forte). Et c'est là, où je me dis que le résumé n'est peut-être pas assez précis. Certes, si vous n'avez pas lu de commentaires sur le roman, vous gardez la surprise des différentes époques. Mais dans mon cas, c'est au contraire la meilleure accroche possible! 

Nous nous retrouvons donc à suivre Peter, un adolescent normal. Enfin, qui depuis un certain temps développe une plus grande assurance et maîtrise de son corps. En effet, un changement s'opère. Et le pourquoi va lui tomber dessus une nuit en rentrant chez lui. A partir de là, on se retrouve en plein mystère. Les questions vont alors se multiplier à une vitesse affolante et étrangement même si on ne sait pas vraiment où l'on en est, on est totalement happé par l'histoire. 

Peter se retrouve perdu dans tous les secrets qu'on lui a caché depuis son enfance. Des secrets qui vont pourtant à tout jamais modifier sa vie et son futur. Mais il n'est pas le seul, puisque d'autres adolescents se retrouvent confronter à sa situation. En une nuit, longue, étrange et particulièrement difficile, ils vont apprendre la vérité sur leurs ancêtres et sur l'existence des fés. Et ces êtres sont bien loin des contes de fées édulcorés. Au contraire, c'est avec tension et appréhension que l'histoire de ses ancêtres se dévoile petit à petit. 

L'histoire est à la fois bien ficelée et très agréable à lire. J'ai beaucoup accroché à la plume de l'auteur. Chaque partie soulève de nouvelles questions ainsi qu'une tension qui nous tient en haleine. L'auteur fait vivre ses personnages, qui sont multiples. Ils sont tous reconnaissables et leur psychologie est bien développée. Ainsi je me suis parfaitement mise à la place de Peter. Et j'ai beaucoup aimé la Hersent du Moyen-âge. Les personnages ne sont pas tout blanc ou tout noir. L'auteur utilise une large palette dans la personnalité des divers personnages. Et je trouve que l'histoire en est enrichie. J'ai en effet beaucoup aimé voir les différentes réactions des personnages face aux difficultés que l'auteur leur impose. 

Et puis surtout j'adore la malédiction qui pèse sur ces familles. Le lien qu'ils développent avec un animal. Celui qui vit au fond d'eux et avec qui ils doivent cohabiter. 

A présent, j'ai une terrible envie de connaître la suite. Qu'arrive t-il aux personnages? Que va faire Peter face aux découvertes qu'il fait? Etc...

Les +: 
- l'originalité dans la forme du roman
- les passages entre époque actuelle et surtout l'époque médiéval
- la tension et les mystères qui nous tiennent en haleine.
- les liens entre les familles et les animaux

Les - : 
aucun

Ma note: 5/5

lundi 23 mars 2015

Grimoire: Festival ludique de l'imaginaire


Ce week-end a eu lieu Grimoire: le festival ludique de l'imaginaire à l'INSA de Toulouse. C'était la neuvième édition et pour ma part ma deuxième participation. Frustrée l'année dernière de n'avoir pu passer qu'en coup de vent et faire quelques jeux de société, je suis restée cette année sur les quasi deux jours. 

Au programme ont été organisés: Jeux de société, Jeux de rôle, Soirée enquête, Rencontres culturelles, Cabaret, Jeux de figurines et Jeu géant ainsi que la présence de différents stands (thé, vente de livres...). Le thème de cette année était Anges et Démons. En arrivant samedi matin, il a donc fallu choisir un camp et j'ai opté pour celui des anges, même si ça n'a pas changé grand chose. 


La journée a donc commencé pour mon petit groupe d'amis et moi en fin de matinée. Après avoir récupéré nos petits sachets contenant le dé spécial grimoire ainsi que l'écocup au thème du festival, au graphisme très sympa, nous nous sommes lancés dans une partie de Citadelles, un excellent jeu bien fourbe! 

Après avoir crié famine, nous nous sommes dirigés pour prendre nos repas. Puis en vitesse, nous sommes allés à la première rencontre culturelle. Le thème portait sur la morale dans le JdR. Une discussion très sympa où les questions furent nombreuses et les thèmes abordés intéressants. Notamment, la question des joueuses et du sexisme à la table de JdR. J'avoue avoir beaucoup de chance, j'ai une table de jeu régulière où les filles sont à l'honneur et où le sexisme n’existe pas. Malheureusement, j'ai aussi eu le droit à l'occasion à des phrases gratuites et qui n'avaient pas lieu d'être, du genre " Tu as bien fait de prendre un rôle masculin, sinon ton personnage aurait pu se faire violer"

Toute l'après-midi a été consacrée à une partie de Jeu de Rôle sur le thème des pirates et  des mousquetaires. Affalés dans d'énormes poufs, nous avons troqué notre place pour celle de terribles pirates. Je faisais évidemment partie des pirates (quelle question!) et portais le doux nom de La mouette, un pirate tatoué entièrement, à la chemise de couleur douteuse, extraordinairement doué en médecine (mes jets de dés ont été énooooormes!) boudeur et chieur né. (Je possédais d'ailleurs une compétence chieur). En clair, un parfait pirate! Nous avons donc dû collaborer entre pirates (le fayot, la poche, plumeau, mamie) et mousquetaires (Charles-Henri, l'anguille, et le stagiaire) sur un même bateau pour dégommer un kraken à coup de boulets de canon, récupérer notre capitaine, virer les sangsues qui nous collaient aux basques, et remplir nos poches d'or. J'avoue avoir piqué les jupons de la demoiselle en détresse pour me fabriquer un baluchon bien rempli. 
J'en retiens un très bon souvenir. L'équipe était très sympa, on a beaucoup ri et le MJ s'est bien adapté à tout le monde. 

Évidemment, les cinq heures de jeu de rôle nous ont bien fatigués et c'est avec joie que nous nous sommes dirigés vers le banquet. Le célèbre cabaret/cassoulet (obligé à Toulouse!) s'est déroulé dans la convivialité et la bonne humeur. Les bénévoles avaient en plus organisé du théâtre d'impro, une reprise de Kaamelott, etc... et surtout une méga tombola! Et vous savez quoi? Le panda que je suis a réussi à gagner! ô joie et bonheur, j'ai remporté pour plus de cent euros en livres de JdR et en roman. Ce qui est énorme. Et je n'ai pas été la seule chanceuse puisqu'une de mes amies a elle aussi remporté un lot Cthulhu et Histogeek un mélange de livres de jdr, de comics, de figurines et cartes. Bref, une soirée réussie. Nous l'avons d'ailleurs terminée en papotant avec Neko ( éditions du 7e cercle). 

 
La journée du dimanche fut bien plus tranquille. J'étais personnellement bien fatiguée. Nous avons donc passé une petite après-midi  en assistant à la deuxième rencontre culturelle qui portait que les affrontements dans le Jdr et en jouant à Takenoko, que je ne connaissais que de nom et qui est un jeu bien sympathique (à jouer en famille ou entre amis). J'aurais bien aimé faire le jeu de société géant mais vraiment trop fatiguée pour résister jusqu'à la fin... Ce sera pour l'année prochaine! 


En résumé, j'ai passé un très bon week-end au Festival Grimoire, je me suis beaucoup amusée, j'ai rencontré des personnes chouettes (je prévois même d'en revoir certaines) et j'ai à présent pas mal de lecture et de Jdr à me mettre sous le coude!
En tout cas, un grand merci à toutes les personnes qui nous ont accueilli et qui ont travaillé pour nous faire passer de très bons moments. J'ai également adoré toutes les peintures réalisées  sur le thème: un sacré boulot en amont. Encore un grand merci pour les lots et vivement l'année prochaine la dixième édition!

dimanche 15 mars 2015

Le Vaisseau Magique

Les Aventuriers de la Mer, tome 1 : Le vaisseau Magique de Robin Hobb 


J’ai lu, 314 pages
Fantasy

Quatrième de couverture : Les vivenefs sont des vaisseaux magiques liés à la famille qui les possède par des liens empathiques. Ces navires sont insaisissables, ils bravent les tempêtes, évitent les récifs, distancent les monstres marins, sèment les pirates... Et sont surtout l'objet de toutes les convoitises

Vivacia est la vivenef de la famille Vestrit. Le capitaine Ephron Vestrit est mourant et, parmi les siens, chacun ourdit complots et traîtrises pour s'approprier son vaisseau, car l'héritage d'une vivenef ne se transmet pas comme un legs normal. Et ce tandis que d'autres dangers se profilent à l'horizon : les serpents de mer qui infestent les océans se regroupent, et un ambitieux pirate aspire à unir ses pairs sous un seul pavillon : le sien..


Mon avis : J’ai beaucoup aimé ce premier tome qui a eu le mérite de complètement m’immerger dans un nouvel univers. (Cette série peut être lu sans connaître L’Assassin Royal, même si c’est le même univers cela n’a rien de gênant).

L’histoire navigue entre différents points de vue : On tourne entre les membres d’une vieille famille marchande, un pirate aux grandes ambitions et des serpents de mer.

Tout comme les autres romans de Robin Hobb que j’ai déjà lu, j’ai trouvé que la psychologie des personnages était particulièrement bien développée. On comprend parfaitement les sentiments des personnages et on comprend également leur réaction. Ainsi tout est logique et se tient. C’est un scénario bien ficelé qui nous est proposé là.

J’ai particulièrement apprécié le personnage d’Althéa, l’un des personnages principaux. C’est une jeune femme forte, qui se laisse emporter par ses sentiments et qui se retrouve dans une situation particulièrement injuste. Son beau-frère, Kyle, mérite la pendaison et a particulièrement attisé ma haine. Je crois que si le personnage s’était matérialisé devant moi, j’aurais laissé sortir le Panda guerrier en moi pour le finir à la hache. Il y a aussi le jeune Hieman, un adolescent qui jusque-là élevé chez les prêtres doit retrouver sa place au sein d’une famille qu’il ne connait pas. Un personnage bien plus important et détaillé qu’il n’y parait. Brashen est également un personnage dont je voudrais bien connaître un peu plus l’histoire…

Un autre personnage principal est Kennit le pirate. Il m’a un peu prise au dépourvu car bien que pirate, il a une manière de voir toute particulière. Cette originalité apporte beaucoup à la profondeur du personnage et à l’histoire. Ses vœux ne sont pas minces et risquent de perturber bien du monde. On ne s’arrête pas sur un bête pirate juste bon à piller les bateaux marchands, même si ça, il le fait très bien aussi. Il voit bien au-delà de son statut et malgré son caractère bien spécial, il est un personnage très intéressant.

Et c’est là, où je tire mon chapeau à l’auteur. Car ses personnages sont très bien créés et elle arrive à nous faire passer par différents états émotionnels au fur et à mesure du livre. Tristesse, colère, étonnement, surprise… je ne me suis absolument pas ennuyée et je me suis carrément laissée prise au jeu.

Tous souhaitent la réalisation de divers souhaits mais finalement qui parviendra à ses fins ? Qui se retrouvera lésé à la fin de l’histoire ? Qui obtiendra vengeance ou non ? Je n’en sais absolument rien mais en tout cas ce premier tome a posé les bases d’une histoire qui promet beaucoup et qui j’espère atteindra mes exigences de lectrice.

L’autre force du livre est son originalité grâce à la présence du bois sorcier. Un bois magique qui prend vie. Ainsi, les vivenefs qui en sont constituées prennent vie au bout d’un certain temps. Chaque famille est liée d’une manière particulière à son bateau. Et cela les rend unique. C’est un élément essentiel à l’histoire et qui apporte beaucoup aux enjeux qui nous sont dévoilés. C’est aussi le moyen d’entrapercevoir des histoires profondes et complexes qui lient propriétaires et vivenefs. Je pense notamment à l’étrange histoire du Parangon.

Je n’ai donc pas vu le temps passer en découvrant ce premier tome. Cependant, cela m’a semblé un peu trop rapide. J’aurais souhaité plus de détails sur certaines choses comme les serpents que l’on voit très peu. Mais je suppose que l’auteur plante aussi une énorme part de mystère dans son roman et qui sera dévoilée au fur et à mesure.

J’ai envie d’en savoir plus sur cet univers de marins et de pirates. Je souhaiterais connaître l’histoire de certains personnages secondaires plus en détails. Voir ce que les serpents de mer nous réservent en monstruosité. Mais aussi pouvoir passer un peu  plus de temps auprès des pirates.

Rebondissements, actions, sentiments, traîtrises, rêves et honneur se côtoient dans un premier roman qui ne dévoile que le haut de l’iceberg. Robin Hobb est un excellent auteur qui embarque ses lecteurs en pleine galère !

Les + :

- Le décor : entre familles de marchands traditionnalistes et pirates prêts à tout.
- Des personnages très réalistes.
- Le concept des vivenefs et du bois sorcier, tout simplement excellent !
- Un début très bien posé qui promet pour la suite.

Les - :

- Un premier tome qui m’a paru trop court.
- J’aurais aimé plus de détails sur certains points.


Ma note : 4/5 

jeudi 12 mars 2015

Terry Pratchett




L'écrivain Terry Pratchett est décédé aujourd'hui à l'âge de 66 ans. Cet excellent auteur britannique aura su m'émerveiller et me faire rire. Principalement connu pour les Annales du Disque-monde mais pas que, il aura su en tout cas créer un univers entier. Je suis très triste de la nouvelle... Mais bon, je me dis qu'il va pouvoir s'éclater avec le "mâle nécessaire"!



Panda méga triste... pour le coup va falloir que je relise un bouquin du monsieur...